Editeur : Place des Victoires Eds
Parution le 3 mai 2012
Après nous avoir fait profiter des peintures et de leurs auteurs, Marion Vidal Bué nous fait faire une promenade de rêve en Algérie et surtout dans les environs d'Alger, en nous faisant visiter les demeures, villas ou même palais, construits par de riches propriétaires, turcs ou maures, et qui ont été rachetées pour la plupart par des amateurs d'architecture ancienne et en ont fait leur demeure. Par la suite, certaines ont été démolies à cause de leur vétusté mais il reste encore beaucoup d'algériens qui ont eu à cœur de préserver cet incontestable patrimoine.
Editeur : Adolphe Jourdan - Place du Gouvernement - Alger - 1913 Paul Geuthner - 73, rue Jacob - Paris - 1913 Baillères Tindall & Cox - Londres - 1913 Textes, Illustrations et Photographies du Dr Gubb Première page : Photo Geiser
Ouvrage de référence pour la flore algérienne naturelle et acquise, compilé d'une manière originale.
Archéologie et Histoire Depuis le XVIème siècle jusqu'en 1871 Collection du Centenaire de l'Algérie
Auteur : Gabriel ESQUER [Administrateur de la Bibliothèque Nationale d'Alger]
Editeur : Librairie PLON à Paris - 1929 - Trois Tomes Textes et Illustrations tirées par D.Jacomet
C'est un important ouvrage, constitué de textes et de gravures, photographies et dessins, réunis à l'occasion de la célébration du Centenaire de l'Algérie en trois tomes.
(Vendu)
Auteur : Marion VIDAL BUÉ
Éditeur : Les Éditions de l'Amateur - Edigroup, 2006 - Imprimerie Horizon - Gemenos France>
Marion Vidal Bué nous offre ici son quatrième ouvrage consacré cette fois-ci à un peintre seul, André Suréda Pour situer André Suréda (1872-1930), je citerai l'auteur en quatrième de couverture :
"De l'avis de ses contemporains, il fut l'un des meilleurs peintres orientalistes de sa génération, créateur d'un univers raffiné où la grâce féminine et le charme des jardins arabes rejoignaient les légendes des Mille et Une Nuits. Par son talent il sut inscrire ce monde poétique dans les courants novateurs de l'art de son temps."
C'est un ouvrage magnifique, abondamment illustré des uvres du peintre et minutieusement documenté. Marion Vidal Bué nous offre ici un livre digne de figurer dans la bibliothèque de l'amateur d'art.
Elève de l'Ecole normale supérieure de la rue d'Ulm, agrégé de grammaire, Serge Lancel a enseigné successivement à Paris, Tananarive, Alger, où il assumait également la direction de la 2e circonscription archéologique de l'Algérie et celle des fouilles de Tipasa, et enfin à la Faculté des lettres de Grenoble, dont il est aujourd'hui professeur émérite. Il a par ailleurs été directeur des Antiquités historiques de la région Rhône-Alpes, puis directeur de la Mission archéologique française à Carthage.Serge Lancel a également publié chez Fayard une biographie d'"Hannibal", Une étude sur "Saint Augustin" qui fit date chez les Augustiniens, et une étude sur "Carthage" où il eut une mission archéologique sur la colline de Byrsa.
Serge Lancel nous a quitté le 9 octobre 2005 et il laisse un immense vide dans notre amitié.
Editeur : Paris Méditerranée - 87, rue de Turenne - Paris 75003
Distribué en Algérie par : Edif 2000 - Villa Frarma 57, chemin romain - Birkhadem - Alger
En trois années et trois volumes, l'auteur, avec un éclectisme remarquable, a réuni la plupart des uvres picturales concernant l'Algérie de 1830 à 1960. Travail de recherches, de contacts avec les Musées, les collections particulières et leurs détenteurs, qui l'ont amenée à nous offrir un panorama complet, mieux encore, un véritable musée sur le pays qui fut le nôtre pendant ces époques, à portée aisée de nos regards admiratifs.
Dictionnaire des peintres, sculpteurs, graveurs 1830-1962
Auteur : Elisabeth Cazenave
Editeur : Bernard Giovanangeli
Association Abd-el-Tif
Imprimerie : Jean-Lamour - 3è trimestre 2001Pour résumer cet ouvrage très documenté je me permettrai de citer quelques lignes de la Préface :
"...Elisabeth Cazenave nous propose un autre voyage scientifique et esthétique, celui de l'art. Après de longues et enrichissantes recherches dans les bibliothèques et les archives, elle brosse, dans une première partie, l'histoire de la vie artistique en Algérie, du royaume mythique barbaresque à la villa Abd-el-Tif dont elle est la spécialiste. La seconde partie de ce livre est faite d'un dictionnaire des artistes de l'Algérie qui permettra de contempler leurs uvres avec des yeux avertis."
[Les Artistes de l'Algérie - Préface de Françoise Durand-Evrard, conservateur général du Patrimoine, directrice du Centre des Archives d'outre-mer.]
Auteur : V.A. DIEUZAIDE
Imprimeur Editeur : Imprimerie de l'association ouvrière Heintz, Chazeau et Cie - 16, bld Malakoff - Oran - 1880 Ouvrage en deux tomes
Une histoire de l'Administration française de l'Algérie, à travers les yeux d'un adversaire résolu du gouvernement militaire. Ecrite en 1880, l'auteur pensait que le ce gouvernement devait en finir avec les longues luttes de la conquête
Auteur : Elisabeth Cazenave Editeur : Association Abd-el-Tif Imprimerie Jean-Lamour - mai 2002
Une histoire détaillée de la Villa Abd-el-Tif depuis sa finale destination, devenir une "villa Médicis" des orientalistes. Les boursiers qui y vinrent séjourner ont laissé des uvres qui font la gloire de l'Algérie et notre fièrté.Toujours appelés "les Abd-el-Tif" qu'ils soient peintres, sculpteurs et un architecte, ils furent quatre-vingt-sept. Le premier d'entre eux fut le peintre Léon Cauvy, qui mourût en janvier 1933 à Alger. L'auteur nous donne pour chacun de ces artistes, une biographie complète ainsi que plusieurs planches en couleur et de nombreuses illustrations.
Ouvrage réalisé à l'ooccasion de l'exposition organisée par l'Institut français d'architecture - Cité de l'Architecture et du patrimoine au palais de la Porte Dorée du 25 juin au 14 septembre 2003.
Réalisé sous la direction de Jean-Louis Cohen, Nabila Oulebsir et Youcef Kanoun
Editions de l'Imprimerie - Collection Tranches de Villes
Il est ainsi décrit en 4ème de couverture :
"La coexistence entre écritures architecturales contradictoires a transformé depuis 11000 le paysage de l'Alger en une séquence étonnante d'objets autonomes et cependant capables de dialogue. Création urbaine unique inscrite dans les relations entre l'Algérie et la France, la "ville blanche" déploie un paysage intense dont l'harmonie ne peut manquer de frapper le visiteur le plus distrait. La chronique urbaine d'Alger n'est pas séparable des figures des architectes l'ayant façonnée de leurs édifices ou de leurs idées, de Frédéric Chassériau à Benjamin Buknall, d'Auguste Perret à Le Corbusier, de Fernand Pouillon à Roland Simounet et Oscar Niemeyer, entraînés tout à tour dans un tourbillon d'espoirs et de déceptions... Les ambitions et les échecs de l'urbanisme colonial et contemporain sont évoqués ainsi que les représentations littéraires, photographiques et artistiques d'une ville en laquelle Fernand Braudel voyait "un nid de corsaires poussé à l'américaine", issue de fonds français et algériens, l'iconographie est pour l'essentiel inédite.".
Auteur : Elisabeth Cazenave Editeur : Association Abd-el-Tif Imprimerie Mame - mars 2003
Biographie de Maurice Bouviolle. Né à Beauvais, il étudie à l'Ecole des Beaux-Arts à Paris. Il se liera d'amitié avec Gauguin, Monet et Renoir qui revient d'Algérie et lui décrit son voyage de manière enthousiaste. Il décide de s'y rendre en sa compagnie, mais la guerre de 1914-1918 l'en empêche. Malgré tout le destin est là et il se voit affecté au 1er régiment de tirailleurs algériens. Il combat sur le front en France, mais retourne en Algérie en 1918 où il se marie. Il continuera sa carrière artistique dans ce pays, jusqu'à l'indépendance. Installé à Marseille il continua de peindre, mais mourût en 1961, nous ayant laissé outre ses peintures, surtout du M'Zab, des textes qui devinrent indispensables à l'historien, sur les murs, la race, et la psychologie de tous ceux qu'il fréquenta.
Ouvrage illustré des uvres du peintre, en couleurs et en noir et blanc.
Un ravissant conte, écrit et illustré par Charles Brouty
La Santé maritime dans le port d'Alger
UN CERTAIN ALGER
IMGs de Charles Brouty présentées par Emmanuel Roblès et réunies par RIVAGES Imprimeurs : Presses des Imprimeries de la Typo-Litho et Jules Carbonel réunies à Alger - 12 décembre 1952
[Edition originale tirée à 2000 exemplaires, sur Alfa Cellunaf. Exemplaire 952]
Ouvrage de dessins de Charles Brouty pris sur le vif; la majeure partie dans la casbah où Brouty aimait à se promener et qu'il connaissait sur le bout des doigts. "...il est partout dans les vieux quartiers" écrit Emmanuel Roblès dans sa préface, " il connaît toutes les terrasses de la ville arabe et il peut vous faire admirer le panorama de la baie sous les angles les plus variés"
Auteur : Georges Marçais, Membre de l'Institut, Directeur du Musée Stéphane Gsell Photographies de Marcel Bovis Editeur : Arts et Métiers graphiques - 18, rue Séguier, Paris
[Ouvrage publié sur les instructions de Monsieur Robert Lacoste, Ministre de l'Algérie, par la sous-direction des Beaux-Arts du Gouvernement Général, tiré à 4000 exemplaires dont 3000 numérotés de 1 à 3000 et réservés au Gouvernement Général de l'Algérie - Exemplaire 350]
Ouvrage broché orné de photographies avec un texte de Georges Marçais. L'art et l'architecture de l'Algérie depuis le 8ème siècle étudiés avec érudition et le savoir que l'on connaît à Georges Marçais.
Dessin de Ch.Brouty. "Près du Cap Caxine, la falaise a crevé"
LE PROFESSEUR MARTIN Petit bourgeois d'Alger
Auteur : Robert Randau
Illustrations de Charles Brouty
Editions Baconnier Frères - ALGER
Ouvrage broché, sorti des presses Baconnier, imprimeur à Alger. Paru en 1938. Randau était né à Alger sous le patronyme d'Arnaud. Elève de l'Ecole coloniale, ses affectations le mèneront de l’Algérie au Sénégal, en passant par le Soudan, à l’origine de son roman Les Explorateurs (1911) ou Les Terrasses de Tombouctou (1920). Né en Algérie, il avait une bonne connaissance de l’islam et éprouvait une véritable empathie avec ce pays, dont témoigne son roman Les Colons (1907) et plus encore son dialogue avec l’écrivain Abdelkader Fikri (Hadj-Hamou) dans Les Compagnons du jardin (1933).
Sa première œuvre importante en 1907 "Les Colons" est publiée sous le pseudonyme de Robert Randau. Suivront d’autres œuvres : les romans algériens, les romans de la grande brousse, des poésies, des nouvelles. Son œuvre ne se compose pas moins de 36 romans, de poèmes et de nombreux articles parus dans diverses revues ou dans l’Echo d’Alger où il écrit régulièrement à partir de 1935. Son œuvre et son action lui valurent d’être appelé le « Kipling Africain ». Le Professeur Martin est un Essai, IMG de la vie algéroise dans la fin du 19e siècle.
Lucienne Favre est née à Paris le 4 janvier 1894. Elle n'a pas connu son père, décédé plusieurs mois avant sa naissance. Dans des circonstances qui nous sont inconnues, elle arrive à Philippeville à l'âge de neuf ans et séjourne dans la région. A dix-huit ans, elle épouse à Paris Louis Turlin, né à Bône en 1891. Le jeune couple est domicilié à Paris et une fille, Jacqueline, naît le 16 octobre 1912.
Louis Turlin, ayant achevé ses études de droit et son sursis d'incorporation étant épuisé, est appelé sous les drapeaux. Nommé sous-lieutenant, il est versé dans les Tirailleurs. Il meurt au combat le 5 novembre 1914 à Marceuil (Pas-de¬Calais). Lucienne, dans une situation financière difficile, s'installe alors avec sa mère et sa fille à Alger, au 17bis rue Richelieu. Jacqueline est externe à l'institution Fénelon. En 1923, Lucienne se remarie avec maître Gaillard (né à Bougie en 1880), avocat à la cour d'appel d'Alger. C'est une période faste pour Lucienne qui entame une carrière littéraire. Par sa beauté, son élégance peu courante, elle est très remarquée dans les milieux algérois. On reçoit beaucoup chez maître Gaillard, dans le quartier du Palais de justice.
Les familiers sont le couple Léveilley, Marie¬Josèphe et Charles Plâtrier, Edmond Brua et son épouse. Le jeune Camus er Max-Pol Fouchet fréquentent aussi ce cercle. Lucienne, souvent accompagnée par Le Corbusier, se rend à la Casbah où la vie des femmes la fascine. Ses premiers romans en sont inspirés.
En 1934, débute sa production théâtrale avec Isabelle d'Afrique et surtout Prosper. Son projet de pièce (il s'agit de son roman Tout l'inconnu de la Casbah d'Alger) est envoyé à Gaston Baty, directeur du Théâtre de la Gaîté-Montparnasse. Celui-ci monte Prosper dont la première est jouée le 24 novembre de la même année. La pièce se déroule en trois actes et comporte treize tableaux. Les décors représentent la Casbah, une rue, une fontaine, un escalier, des terrasses et la chambre de Malvina, le personnage central. La musique est d'Ida Bouchène. Cette première est l'occasion d'une grande publicité pour l'Algérie avec l'aide de l'Office algérien de l'action économique (OFALAC) : peintures, gravures, livres sur l'Algérie. Le foyer du théâtre accueille une exposition de tableaux de Launois, peintre qui choisit ses sujets dans le personnel des maisons closes de la Casbah. Le peintre Bouchaud expose deux toiles. Des planches, extraites de l'Iconographie de l'Algérie d'Esquer ainsi que des photographies de l'OFALAC figurent également. En outre, la galerie Dinet, rue Royale, consacre quelques semaines aux peintres contemporains de l'Algérie. Avec la production de Lucienne Favre, des livres sur l'Algérie sont exposés : A. Gide, P. Loti, 1. Bertrand, G. Audisio, G. Marçais, Alazard, Brousseaud. Le programme offre, avec les portraits des principaux acteurs et de l'auteur, des placards publicitaires sur l'Algérie. Mais la critique fait surtout honneur au talent incontestable de Gaston Baty. L'auteur n'est certes pas oubliée, mais, étant encore inconnue, elle figure en seconde zone. Le nom de Prosper, titre de la pièce, sera repris par Maurice Chevalier pour une chanson qui deviendra célèbre. La centième représentation a lieu le 20 février 1935.
Le 23 décembre 1936, le suicide de maître Gaillard laisse Lucienne effondrée. Sa production littéraire marque un arrêt. Elle se remettra à écrire en 1939.
Elle se marie une troisième fois à Paris le 18 juillet 1939 avec René Dard, anciennement maître imprimeur aux établissements Baconnier à Alger. Le couple réside à Paris, rue de l'Université. Il semble qu'il ait vécu les années de guerre en France. Mais nous n'avons pas de précisions sur cette période, ni sur celle qui a précédé le décès de Lucienne Favre à Paris, le 21 mars 1958.
D'après Yves Pleven. †
Jeune femme nue, mosaïque de Timgad
LES MOSAIQUES DE TIMGAD
Auteur : Suzanne Germain †, née Warot Editions du C.N.R.S.
[Suzanne Germain Warot est la cousine au 3ème degré de l'auteur de la page]
Une maison turque (ou mauresque !) à la Bouzareah
CHARLES BROUTY Un artiste reporter de l'Algérie heureuse et du Sahara
Auteur : Elisabeth Cazenave et John Franklin, Editions de l'Onde / Association Abd-el-Tif Septembre 2007 Illustrations : Charles Brouty
Dans l'œuvre artistique de Charles Brouty, deux parties coexistent : l'œuvre peinte et l'œuvre dessinée. La seconde, beaucoup plus importante a été popularisée pendant plus d'une quarantaine d'années par la presse d'Algérie, l'affiche et l'illustration de livres.
Charles Brouty en reportage était bien plus qu'un dessinateur très doué; parfait narrateur, il savait se montrer selon les thèmes : caustique, léger ou tout à fait rigoureux. Son exceptionnel talent d'observateur associé à son sens très libre de l'écriture, enrichissait la moindre de ses œuvres qu'il ponctuait couramment de savoureuses anecdotes.
"Fantaisiste et cocasse, gouailleur et distingué, aussi soucieux de ses feutres que de sa peinture, chic et rigolo." Edmond Gojon
Le livre par Elisabeth Cazenave
PAUL-ELIE DUBOIS Peintre du Hoggar
Auteur : Elisabeth Cazenave , Editions du Layeur Imprimé en Italie par S.Stampa Octobre 2006
Si l'on considère l'œuvre de Paul-Elie Dubois, il est évident que la majeure partie de ses peintures lui a été inspirée par le Hoggar. Il est ainsi, le peintre du Hoggar. Mais tout bien considéré, natif de Franche-Comté, il en avait découvert toute la poésie et l'avait bien exprimée. Puis après avoir connu Marquet, Gauguin, Matisse pour ne citer qu'eux, il partit d'abord pour l'Italie puis pour l'Algérie et le Sud et depuis 1920 une grande partie de sa vie se déroula dans ces lieux. Il fut pensionnaire de la villa Abd-El-Tif et parcourut le Sud nous laissant en héritage de merveilleuses peintures.
Auteur : Alphonse Daudet , Imprimé sur les presses de Graficki Zavod Hrvatske d.o.o. à Zagreb, Croatie pour les Editions Paris Méditerranée à Paris Illustrations d'une ancienne édition de Tartarin, par Georges Dutriac d'une part et d'autre part par une compilation de Marion Vidal-Bué.
Qui ne connaît Tartarin, le héros de Tarascon, le Méridional hableur qui se dupe lui-même en même temps qu'il dupe les autres ? Il ne rêve que d'aventures et de chasse au lion, mais n'est jamais sorti de sa petite ville. Poussé par les circonstances et par ses amis, les chasseurs de casquettes, il s'embarque enfin pour l'Algérie afin d'y débusquer les grands fauves...
L'Algérie où Tartarin pose le pied est celle qu'Alphonse Daudet a visitée en 1862, alors que c'était une destination à la mode, prisée par de nombreux artistes.
Cette nouvelle édition de Tartarin de Tarascon donne à voir, en regard du texte dont on découvrera ou re-découvrira la verve et la saveur, cette Algérie de la seconde moitié du XIXe siècle, à travers une abondante illustration d'époque en grande partie inédite.
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