Les Warot
Françoise BERNARD BRIES - © 2013

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Joseph et Marguerite Warot

Médailles en bronze, profils de Joseph Warot né à Alger en 1842 et de Marguerite, née Flaquer son épouse

Table des Matières
Introduction


Jusqu'alors, notre plus ancien ancêtre connu, Antoine Warot, était berger à la ferme du Quesnoy, qui existe encore de nos jours près de Gapennes. Les Warot ont émigré du Nord de la France en avril 1832, de Gapennes, petit village près de St Riquier et d'Abbeville.

Mais il y a quelques temps, un nouveau "cousin" découvrit dans un acte de mariage datant d du 16 mai 1676 le patronyme de la mère d'Antoine : Hequel. Nous remontons ainsi un peu le temps et cela concrétise la naissance de ce premier ancêtre. Assistait aussi en tant que témoin, le frère utérin d'Antoine, Nicola dit "Le Serigue".

Les Warot étaient menuisiers charpentiers tisseurs de toiles, manœuvriers et tentèrent l'aventure de la conquête de l'Algérie comme bon nombre de leurs concitoyens. Ils partirent en avril 1832, un peu à l'aventure, d'abord en voiture à cheval, jusqu'à Paris, puis par le coche d'eau de Paris à Lyon et à Avignon, embarquèrent à Marseille et firent un voyage de huit jours pour arriver à Alger. Voici ce que Médard Warot écrivit à son père Nicolas :

"Le pays est très chaud de jour mais les nuits sont très fraîches, la campagne est fort belle. Quand à mon voyage nous avons eu beau temps de Rouen à Marseille là où nous avons embarqué. Nous avons été huit jours sur la mer, nous n'avons eu que deux jours de mauvais temps. Je n'ai pas été malade sur l'eau"

Médard s'établit ensuite définitivement à Alger où il créa la première entreprise de Bois qui allait devenir plus tard et jusqu'en 1972, date à laquelle l'affaire familiale fut nationalisée par les algériens, la Société des Chantiers Warot dont vous pouvez suivre la réussite sur la page :"Historique des Maisons Warot - 1, 2 et 3"

Cette généalogie a été faite par moi-même après maintes recherches, soit à l'aide d'indications familiales, de souvenirs, de documents, mais aussi en retrouvant au cours du temps, des "cousins", des parents ou alliés qui consultèrent le site que j'avais fait un peu dans cette intention. J'ai beaucoup fouillé les archives familiales, lettres, documents d'état-civil, notes diverses. J'ai aussi la grande chance d'avoir un Père "conservateur" qui émaillait ses notes de photos ou d'histoires familiales, qui annotait aussi les objets intéressants. Internet m'a également beaucoup servi et je ne compte plus tous ceux qui m'ont contactée pour une recherche ou une découverte ou une précision en les remerciant de leur aide précieuse.

Cependant, j'ai pu, n'étant pas généalogiste de métier, me tromper, oublier, faire des erreurs dans le libellé des noms ou des prénoms et je prie mes lecteurs de bien vouloir m'en excuser et me prévenir si ils se trouvent indécis quand à un nom, une date ou un lieu. Je me suis également servi de données diverses, mais en notant parfois qu'il s'agissait de pure hypothèse car dans l'incapacité de pouvoir vérifier si loin dans le temps ce qu'il en était vraiment, mais en faisant confiance à ceux qui m'avaient fourni ces précieux renseignements.

Mes nombreux voyages et mes visites ont également contribué à élargir mon champs de connaissances et surtout, les cimetières visités furent de précieux "livres" ouverts à mes questions. Au cours des mois, et maintenant des années, ces familles vivent de nouveau. Il n'est pas rare qu'un seul nom, vous ouvre une voie différente de celle pensée auparavent mais non dénuée d'intérêts et d'histoires merveilleuses.

AVERTISSEMENT

A la suite d'incidents entre l'auteur et une personne de sa famille d'alliance, qui, outrée par les renseignements au sujet de son nom et sa descendance, m'a littéralement agressée, je précise que, selon la loi Informatique et Libertés, toute personne désirant être retirée d'une base de données ou désirant apporter des précisions ou corriger des erreurs, peut en faire la demande au propriétaire de ladite base. Il suffit simplement de prendre contact d'une façon ou d'une autre. L'outrance verbale n'y est pas de mise.


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