Sources
1. Acte de décès de Jean (Zannis) Zygomala à Alger. Est mentionnée comme Mère : Arghyro Aïvagi. Plus tard le prénom d’Arghyro fut donné à sa fille. Arghyro Zygomala
2. Renato Saggiori, “Message sur Pages-Tambour.com,” 3 mars 2006.
Bravo, chere Madame!
Grace a vos pages j'ai pu completer mes recherches sur l'un de vos ...
cousins: Pierre-Francois ALLIER ( 1806-1877). Ce dernier, avocat,fut ami
et collaborateur du patriote italien Giuseppe MAZZINI, en 1834, a
Lausanne... Sa femme, Caroline de MANDROT,permit a l'Italien de se cacher
au sein de sa famille et de continuer ainsi en Suisse son oeuvre d'exile'
revolutionnaire .

Avec mes remerciements veuillez agreer, chere Madame, l'expression de mes
sentiments tres distingues.
Renato Saggiori
3. L’acte de mariage, transcription est aux Archives de la Loire.
4. La bénédiction leur a été donnée par le Père Durieux, en la Chapelle de Mayran, près de la Grange, le 25 Août 2000, en présence de la famille et de beaucoup d’amis. Vin d’honneur à la sortie de la Messe, et déjeuner à la maison en petit comité. Le soir, dîner assis, sous la tente, dressée sur le fairway.
5. Louis Dousdebès était en garnison à Sétif lorsqu’il rencontra Alice Bernard qu’il épousa.
6. Sur l’acte de mariage Bernard Begey, elle est appelée Marie Louise Elénore...mais :”la future atteste avec sa grand mère (Marie-Thérèse Bosco) que malgré ldes différences de dénomination dans les pièces qu’elle produit, il y a identité de personne.
7. Le mariage fut célébré par Monseigneur Dauzon, qui m’avait suivie toute mon adolescence à Ste chantal.. En L’Eglise Saint Charles. Un déjeuner nous réunit ensuite au Dauphin, à Suffren chez Emile Baroli. Le lunch et le dîner eurent lieu dans les villas de Suffren.. tout avait été fait maison... ou presque. Nous étions 150 et 100 au dîner assis...
La veille, 8 juin avait eu lieu le mariage civil à la Mairie d’Alger. Marguerite Chatrousse était mon témoin et Jean Vidonne le témoin de François. Un déjeuner eut lieu ensuite à Dar El Alia à la bouzaréah.
8. Sur l’acte de naissance est cité comme témoin, Frédéric Boniffay, son oncle.
9. “Archives du Ministère de la Guerre (Vincennes).”
10. Ses cendres furent dispersées dans les champs, au Moulin, à La chapelle sous Gerberoy, par son fils François
11. Une réception eut lieu ensuite chez Monsieur et Madame Bob Lamaison.
12. Nicole lorsqu’elle était à Ste Marie de Neuilly, sautait à la corde avec ses petites amies. Elle chantait en même temps : “Alexandre le Grand... Avait un cheval... Nommé Bucéphale... Et c’est mon grand père....” En effet le grand père de Nicole était Alexandre Legrand [Nicole à FBB le 2003-04-01]
13. Nicole lorsqu’elle était à Ste Marie de Neuilly, sautait à la corde avec ses petites amies. Elle chantait en même temps : “Alexandre le Grand... Avait un cheval... Nommé Bucéphale... Et c’est mon grand père....” En effet le grand père de Nicole était Alexandre Legrand [Nicole à FBB le 2003-04-01]
14. “ECHOS MONDAINS,” Journal d’Oran, Oran Algérie, 29 Mars 1904.
15. Le patronyme Floros, se trouve écrit également dans de nombreux actes d’état civil, “Florot”. Il s’agit sûrement d’une erreur de transcription par les rédacteurs des actes. Le document émanant des Affaires Etrangères Grecques, ne nous laissent aucun dout sur l’orthographe avec un “S” - FLOROS
16. Athanase Floros avait un ami du nom de Emmanuel Micreditz. Leurs tombes se touchent au cimetière de St Eugène. Micreditz avait créé un “Café Chantant” le “Café de la Perle”. Avant la création de l’Opéra et de sa troupe, il n’y avait que des cafés chantants. le plus ancien de tous était le Café de la Perle créé en 1831 à l’angle de la rue Bab Azzoun et de la place du Gouvernement. avec entrée dans la rue de Chaseing. On n’y entendait pas de chansons obscènes et même pas trop égrillardes M.Micréditz veillait à ce que le répertoire ne soit pas trop leste. De même on n’y parlait pas de politique. Le Café de la Perle déménagea sur le boulevard de la République, puis fut transféré rue des Trois Couleurs. [FBB-041113]
17. En 1813, L’ile de Syra, faisait partie comme toutes les Egéennes, de l’Empire Ottoman.
18. Sur l’acte de décès d’Athanase Floros, un des témoins, est Charles Jullian, armateur, gendre du défunt. Il avait épousé en effet, Calliope Floros dite Hélène Floros, dernière fille du couple.
19. On remarque que le prénom d’Arghyro, donné par Jean Zygomala et Loula, née Vlasto est celui de la mère de Jean Zygomala, épouse de André (Nicolas) Zygomalas
20. Sur l’acte de décès d’Arghyro Zygomalas, épouse Floros, il est dit “née à Chios, Turquie d’Europe”. En 1821 année de sa naissance, Chios faisait partie de l’Empire Ottoman, mais les chiotes, se refusaient à être considérés comme des Turcs et disaient simplement qu’ils étaient “de Chios”. Ce que l’on rencontre maintes fois ou sur les pierres tombales ou sur les documents d’Etat Civil.
Je sais donc maintenant que Arghyro est née à Chios, avant les massacres qui ont eu lieu en avril 1822 le jour de Paques et que par conséquent elle est partie avec ses parents, Yannis et Loula Zygomalas, née Vlasto vers Syra et ensuite Livourne puis Alger. Il est impossible de retrouver l’acte de naissance, de mariage, ou de décès de beaucoup de Chiotes, les Turcs ayant tout détruit, et le tremblement de terre qui eut lieu dans la moitié du 19è acheva ce que les Turcs avaient laissé !!![FBB-04-09-08]
21. Témoin au décès d’Arghyro : Pandia Sagrandi, neveu de la défunte, étudiant en médecine. C’est ce même Pandia dont parle cousine Jeanette en citant Jean Sagrandi et en annotant sa photographie, fils de l’oncle Pandia.
22. Le 10 septembre 2004 je reçois de Christos Zygomalas, un papier des Archives de Syra, mentionnant la naissance de Julie Floros à Syra en 1838. Il n’y est pas fait mention de jour et de mois.
23. Cette petite fille n’est pas inhumée dans la tombe Chapelle Floros à Alger St Eugène. A ma connaissance elle n’est pas mentionnée sur les papiers du cimetière.
24. Sur l’acte de décès de Julie Florot (s) à Alger en 1846, est cité : “...ont comparus le Sieur Georges Florot (s) âgé de vingt six ans, marchand de blé, demeurant rue Blondet n° 17 à Alger...”.
Nous ne savons pas à ce jour qui était ce Georges Florot (s) peut-être un frère d’Athanase.
[FBB-04-09-15]
25. Sur l’acte de son mariage, il est dit être né à Alger le 23 juin 1851 “de parents grecs”.
Il figure sur les listes de nationalisations et sa date de naissance est confirmée. il ne figure sur aucune liste d’etat-civil du C.A.O.M.
26. Trouvé sur les ARchives d’Etat-Civil CAOM - 2004-06-07 FBB
27. Il demeurait au moment de son mariage au 12 bis rue de Tanger. avec ses parents qui étaient présent et consentants à son mariage.
28. Porté en marge de son acte de mariabe sur les Registres de l’Etat Civil d’Alger,
29. “Patrick Gorgeu.”
Patrick Gorgeu est un cousin de Philippe de Scitivaux de Greische, époux de Ginette Jullian, cousine d'Yvon Derrien. ll est cousin par sa mère, née de Scitivaux.
30. Découvert au CAOM d’Aix en Provence le 21 Novembre 2004 par FBB.
31. Sur l’acte de naissance de Michel Joseph Athanase Manegat, figure comme témoin, en plus d’Athanase Floros son grand père, un Monsieur Semel, négociant, demeurant 11 rue d’Isly et qui n’est autre que l’associé de Joseph Warot mon arrière grand père. [FBB-2005-02-02]
32. Sur l’acte de naissance de Jean Joseph Athanase, figure comme déclarant, le Sieur Bastos. il ne fait aucun doute que ce Bastos là est à l’origine des Tabacs Bastos qui durèrent jusqu’à l’Indépendance. [fbb-2005-02-02]
33. Archives du ministère des Affaies étrangères de Belgique, Bruxelles, Dossier de Gustave Max.
Il commença sa carrière consulaire en Allemagne avant d'être nommé le 28 novembre 1882 Consul général de Belgique en Algérie avec juridiction sur la Tunisie. Il y épouse Marie Floros, de 15 ans sa cadette, fille d'AthanaseFloros, homme de confiance de Jean Zygomala, négociant en grains fournisseur de l'armée française. A la suite de son beau père Jean, Athanase Floros fut nommé Consul de Grèce à Alger et conserva ce poste jusqu'à la fin de sa vie.
Puis Gustave Mas, occupa le poste de Consul général à Séville. EN 1895 après un passage à Bilbao et à Tunis, il termina sa carrière à Madrid en tant que consul général en Espagne, Il prit sa retraite en 1899 et décéda le 18 août 1912 au numéro 12 de la rue Breydel, après "une pénible maladie de trois ans et quize jours de triste agonie" [Lettre de Paul Max au ministère des Affaires étrangères, le 19 août 1912, n° 530]
34. Copie d’acte de naissance envoyé par les Archives Départementales de Haute Saone - à titre exceptionnel - le 12 juillet 2004
35. Sur l’acte de mariage de sa fille Jane il est indiqué qu’il est ancien Consul de Grèce à Alger en résidence à Oran et donnant son consentement à la Mairie d’Oran, au mariage de sa fille.
36. Trouvé sur les archives d’etat-civil CAOM - Internet 2004-06-07 FBB
37. Acte de naissance trouvé au C.A.O.M. indiquant ses mariages successifs en marge.
38. Au jour du mariage de son mariage avec Jane Florot (s) ses parents étaient décédés
39. Berthe Obitz, divorcée de Jean Georges (Yannis) Florot(s) était présente et a signé le mariage, avec les témoins dont Georges Vauchaussade de Chaumont âgé de 24 ans et demeurant rue Claude Bernard à Paris, que Jane allait épouser deux ans plus tard. Elles habitaient toutes les deux rue du Débarcadère dans le 17è près de l’avenue Niel.
40. Sur son acte de mariage avec Georges Vauchaussade de Chaumont, Jane habite avec sa mère Berthe Obitz, 28 rue Lauriston Paris 16è. D’autre part Charles Jullian est cité comme témoin et signe. Donc il était présent à la Mairie du 16è à Paris pour le mariage.
41. Ceci est la première fois que l’on parle de Vienne. Et cela vient appuyer ce que Janine Valldener, née Chatrousse m’avait raconté au sujet de son père Paul. Né en 1895 Paul étudiait l”allemand en classe à Oran. Il fut envoyé pour trois ou quatre mois pour parfaire la langue, chez ses “cousines Vlasto” à Vienne. Janine ne se rappelle plus s’il s’agissait de cousines née Vlasto ou avec un autre patronyme, donc filles d’une fille née Vlasto et mariée avec quelqu’un d’autre. Cela se passait en 1910 ca.
Il y avait donc des parents, cousines ou cousins ou oncles et tantes de Loula Vlasto qui habitaient Vienne en 1900.
42. C’est pour la première fois que l’on note un événement à Vienne Autriche. Et il est donc bien certain qu’il y avait des Vlasto à Vienne et que les souvenirs de Janine et de ce que lui a raconté son père Paul Chatrousse sur son séjour cans cette ville chez les “cousines Vlasto” est exact.
43. De Nicole Vlasto épouse de Anthony Alexander Vlasto, un message m’indique qu’ils ont hérité de portraits de leurs ancêtres dont un portrait de Antoine (Alexandre) Vlasto.
44. Philipp Argenti dans son Libro d’Oro ne nous donne aucune indication de descendance de Pandely et de son frère Timoleon. Mais il ne nous dit pas non plus restés sans descandance. Il ignore peut-être mariage et enfants. Les dates pourraient concorder avec les “cousines” Vlasto dont parle Janine Valdener, née Chatrousse.
45. Encore un Vlasto qui pourrait bien être le père des fameuses “cousines Vlasto de Vienne” dont parle Janine Valdener, née Chatrousse.
Argenti ne nous donne aucun renseignement sur lui.
46. Il fit ses études à Marseille et obtint un Diplome (?) à l’Université de Marseille en1850. Puis vint en Angleterre et rentra dans l’affaire de son Grand Père, Ralli Brothers
47. Je reçois en décembre 2005 un message de Anthony Alexander Vlasto et de sa femme Nicole, indiquant qu’il est le petit neveu de Catarina Vlasto.
48. B.MARCORELLES, “Didi Vlasto,” 1 May 2001, Paris.
je ne sais pas grand chose de Melle Didi Vlasto, hélas. Mais c'est
probablement parce qu'elle n'a pas réussi a gagner de grands tournois de
tennis. A l'époque, les très grandes championnes qu'étaient Suzanne
Lenglen, puis Helen Wills lui ont certainement fait de l'ombre.

Elle était l'incontestable N° 2 française à l'époque de Suzanne Lenglen,
de 1923 à 1926 environ. Son palmarès n'est pas très étoffé, mais elle
sut profiter de la maladie de Suzanne Lenglen en 1924. Le voici :

1923 : Championne de France de double dames avec Suzanne Lenglen

1924 : Championne de France. D.Vlasto bat Melle Vaussard 6/2 6/3
Médaille d'argent aux jeux olympiques, battue par Helen Wills (USA) 6/2
6/2

1925 : Demi finaliste des internationnaux de France, battue par Miss
McKaine (G.B.) 6/2 6/2
Finaliste du double mixte des internationnaux de France, avec Henri
Cochet lui-même, battus par Lenglen-Brugnon.

En 1926, elle est à Wimbledon, partenaire de Suzanne Lenglen en double
dame. Ce ne fut pas une réussite. Suzanne jouait habituellement
Wimbledon avec l'américaine Elisabeth Ryan. Mais la fédération française
avait réussi cette année là à imposer une partenaire française à
Suzanne, contre son gré. Probablement un problème de nationalisme et de
cocorico... Ca n'avait pas beaucoup plu à la grande Suzanne et les
françaises ont été battues en quard de finale, après avoir eu plusieurs
balles de match!

Après, on perd sa trace et je suppose qu'elle a arrêté plus ou moins le
tennis et qu'elle s'est marié. Du moins, c'est ce que je lui souhaite...

Je joins une image cadeau qu'on trouvait à l'époque dans les paquets de
cigarettes... Bien amicalement
49. Auteur d’un ouvrage qui fait référence sur les Massacres de Chios “Greek fire” qui narre de façon très sérieuse et historique le déroulement des événements qui eurent lieu dans l’ile de Chios au moment de l’Indépendance grecque. Faisant partie de ces familles qui subirent les massacres des Turcs, elle s’est appliquée à rendre l’exacte vérité.
50. Benedict Nicholls, 11 Mai 2005, Angleterre.
Bonjour Cousine!

Ma mere est Dominie Vlasto, fille de Peter Vlasto, nee a Liverpool le
30.12.11. Elle vit toujours, grace a une bouteille de vin rouge chaque
jour....!
J'ai une histoire du famille Vlasto, ecrit par Costas Kerofilas, en
francais, imprime en 1932. Je me demande si vous le connaissez?
Mon francais ecrit n'est pas tellement bon, mais je parle assez bien! Je
serais ravi de faire votre connaissance et de discuter tout choses Grec!
Amicalement, et dans l'espoir d'avoir de vos nouvelles,

Benedict Nicholls
1-50, 51-58